Thelchilde P. Falsimagne. THERE IS ONLY ONE THING WE SAY TO DEATH : "NOT TODAY." prénom(s) et nom → Thelchilde Petronille Falsimagne classe → Humaine lieu de naissance → Camelot age → dix-sept ans fonction → Lady à la cour traits de caractère → fidèle - blessée - empruntée - exigeante - manipulatrice - amusante - discrète - indépendante - fière - curieuse - studieuse

Votre réponse pour chaque question devra être d'un minimum de sept lignes

ALLÉGEANCE Telchilde étant la fille d'un comte, elle se doit de jurer allégeance à son nom et à ses parents. Pourtant d'aussi loin qu'elle s'en souvienne, elle n'a jamais vu le moindre honneur dans sa famille, plus fourbes les uns que les autres, ses parents se détestent. Telchilde a dès l'âge de onze ans, a prêté serment au Roi de Camelot, Arthur Pendragon, sans que personne ne le sache vraiment. Elle a toujours voulu avoir un modèle de bonté et de sagesse. Et le Roi semblait parfaitement convenir à ce rôle, elle a donc laissé les siens pour l'Honneur. Petit à petit elle s'est éloignée de sa famille, le peu de fois où elle réussit à parler avec le Roi, eut le don de renforcer cette allégeance. Depuis la mort de celui-ci, Telchilde attendant de voir ce que son fils va faire du royaume. Et pour le moment, son allégeance n'est qu'à elle-même.
RICHESSES Telchilde aura les biens de son mari, car pour le moment, bien qu'étant l'ainée, elle n'est qu'une fille et son frère aura tous les bien des Falsimagne dès la mort de leurs parents. Mais malgré tout, elle aura plus de terres et de richesses que son jeune frère, car elle est promise à un duc qui a le sang plus noble que leur famille. Et en rajoutant la dote versée par ses parents, elle aura un sacré pactole dès le soir de son mariage. Et elle sait très bien qu'elle ne pourrait pas vivre comme une femme du peuple, elle est trop habituée à l’oisiveté et aux banquets fournis sans avoir à lever le petit doigt, aux robes soyeuses. Elle a besoin de quelqu'un pour s'habiller et même pour faire sa toilette, comment pourrait-elle vivre autrement ?
LIEU DE REPOS Telchilde vit, depuis sa naissance, au château de Camelot. Elle n'a, d'ailleurs rien vu d'autre de sa vie, même si maintenant qu'elle est en âge de faire les choses seule, elle s'aventure un peu en dehors de la citadelle gardée. Sa famille et elle ont des appartements dans une des ailes du château, pour rester au plus près du Roi, pour pouvoir le flatter à chaque moment de la journée. Elle a sa propre chambre, et sa propre dame de compagnie, qui doit subvenir à ses moindres désirs. Elle dine souvent seule dans sa chambre, mais se doit d'assister aux repas organisé par la famille royale. Bien qu'ils se fassent bien moins souvent depuis la mort d'Arthur.
SOUVENIRS DU PASSÉ Thelchilde est focalisée sur son futur et ne repense pas une seule fois à Hier. Elle avance en anticipant tout, et le passé bien qu'assez banal est plutôt encombrant. Surtout, lorsque l'on sait qui sont ses parents, des nobles sans honneur mais avec un amour propre surdimensionné. Le seul souvenir qu'elle garde de toute son enfance est la naissance de son frère, véritable fête pour ses parents, qui à partir de ce moment là, ne se sont plus touchés, ayant un héritier.
VISION D'AVENIR Thelchilde sait très bien où elle sera dans dix ans. Toujours à la même place, ici à Camelot. Pourtant, son statut ne restera pas inchangé, elle serait devenue comtesse de Talayssat, et aurait une ribambelle d'enfants, qu'elle ne verrait jamais, ayant des nourrices pour s'en charger. Elle ne partagerait plus le lit de son mari, ayant accomplie sa mission, c'est à dire de lui faire des enfants. Thelchilde ne serait plus obligée de subir sa présence. Faisant chambre à part, ils feraient jaser toute la cour, comme ses parents le faisait à ce moment, le comte serait connu pour ses maitresses et elle serait connue pour son érudition. Car, elle comptait apprendre, le plus qu'elle le pouvait et comptait influencer ce royaume, en voie de perdition dès la mort de son Roi bien aimé.

Listez au moins cinq particularités concernant votre personnages (manies, habitudes, goûts...) que vous détaillerez ou non.

➽ Thelchilde est amoureuse d'un chevalier, mais est promise à un duc, mais elle sait que son idylle chevaleresque n'ira pas plus loin, alors elle s'est résignée et attends de voir ce fameux duc lorsqu'il rentrera à Camelot.
➽ Est une batarde, mais cela personne ne le sait, à part ses parents, sa mère était stérile. Et son père voulait tout de même un peu de lui dans cet enfant. Sa mère biologique est une servante du palais royal, mais ça encore, elle l'ignore.
➽ A tendance a n'écouter qu'elle-même.
➽ Adore sortir de la forteresse de Camelot pour être seule dans les bois. Officiellement, elle va ramasser des fleurs pour égayer sa chambre mais officieusement c'est pour confectionner des potions dont la recette se trouve dans les livres qu'elle lit à la bibliothèque.
➽ La magie l'a toujours beaucoup intriguée, elle est même assez triste de ne pas pouvoir en user, alors elle lit des vieux grimoires pour s'occuper et en sait beaucoup sur cet art/science.
➽ A toute une garde robe donnée par sa mère, elle a des dizaines de robes, corsets, bas, parure, fourrure. Elle s'amuse à en changer tous les jours, donnant le ton de la nouvelle mode à la cour.

Derrière le miroir. pseudonyme/prénom → GV sexe → Feminin âge → bientôt la moitié de 34 ans où avez-vous connu le forum ? partenariat commentaire → je sens que je vais grave kiffer ma mère sur ce forum ! avatar → Sophie Turner crédit → tumblr

Ma chère enfant, il faut vous préparez ! Il ne nous reste qu'une heure avant le tournoi et vous vous devez d'y assister ! Thelchilde écoutait sa femme de chambre déblatérer sur le fait qu'elle devait absolument être présente à un événement si important pour Camelot. Depuis toute petite, l'ainée des Falsimagne, avait l'habitude de se montrer à tous les événements, banquets et tout ce qu'il fallait pour rester présente dans l'esprit des autres nobles. C'était donc normal pour elle d'avoir des robes de plus en plus sophistiquées ou plus en plus chères pour concurrencer les autres jeunes filles de la cour. Son petit frère avait la chance de pouvoir porter n'importe quel habit et de rester dans les tribunes sans devoir lancer des regards amicaux à toutes ces personnes insupportables autour d'eux. Elle aurait tellement aimé être un homme.

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Père, j'ai réfléchis à votre requête. Et, j'accepte d'épouser le Duc de Talayssat, mais accordez moi au moins une grâce, comme cadeau de mariage. Gildas Falsimagne regarda sa fille avec émerveillement, elle qui, une semaine auparavant comptait fleurette à un simple chevalier. Il pensait qu'elle serait beaucoup compliquée à convaincre. Car sa dame de chambre lui avait révélé qu'elle en semblait éperdument amoureuse, mais si elle acceptait, il pouvait lui offrir toutes les choses qu'elle désirait. Leur blason redoré, il pourrait se pavaner beaucoup plus sereinement dans les couloirs du château. Thelchilde ne voulait qu'une seule chose en ce moment, et l'absence du duc de la cour pour le moment l'arrangeait parfaitement. Ne le connaissant pas, elle ne savait pas comment il réagirait si elle le demandait à son futur-mari. Mais son père semblait près à lui céder n'importe quoi, du moment qu'elle épousait l'homme et lui faisait une descendance acceptable. Évidemment, tu es la chair de ma chair. Que désires-tu ? Thelchilde eut un sourire de satisfaction, son père était tellement manipulable et si simple d'esprit, il avait mordu à l’hameçon. Car le mariage n'était rien, deux ou trois nuits horribles à passer ensemble et puis après, c'était fini. Ces parents avaient été l'exemple parfait. Et ce qu'elle allait avoir lui ferait sans doute oublier les douleurs des premières fois et les accouchements qu'elle devrait fournir aux deux familles. Je voudrais un précepteur, celui qui est si connu à la cour pour ses talents médicinaux. Son père fronça les sourcils, il savait sa fille studieuse et intéressée par tout, mais la médecine... Cela ne se faisait pas, elle allait se marier et elle voulait apprendre quelque chose qu'une femme ne pouvait pas savoir. Il allait devoir refuser, son nom allait être dit plus que souvent dans les commérages des courtisans si l'on apprenait ce que sa fille voulait faire. Cela ne se faisait pas, surtout pour une lady futur duchesse. Je t'enverrais un précepteur, mais tu sais très bien que la médecine est une science trop compliquée pour les femmes... Thelchilde bouillait, son père la mariait de force avec un inconnu et en plus, il n'acceptait même pas sa seule requête. Pour oublier son futur, elle comptait se réfugier dans la lecture. Et certainement pas de contes, il y avait des bardes pour ça, elle voulait savoir comment diriger un pays. Elle ne voulait pas le trône mais elle voulait conseiller, et pour cela le mariage avec un comte l'arrangeait bien, même si elle n'était qu'une femme, elle serait au plus près des affaires du royaume. Le nouveau Roi semblait tellement faible qu'il écouterait surement les avis d'une femme. Elle accepta alors d'un mouvement de tête la décision de son paternel. De toute façon, que pouvait-elle faire d'autre ? Il serait capable de lui retirer complétement son précepteur si elle le contredisait. Elle se tût donc.

La jeune fille guettait l'arrivée de son futur mari, ou un quelconque signe à la cour que le comte Talayssat revenait. D'ailleurs, personne ne savait pourquoi il était partit et pour le moment, Thelchilde ne s'en plaignait pas. Elle était libre de tout mouvement jusqu'à son son mariage et cela lui faisait du bien, vu qu'il ne pouvait avoir lieu sans le principal intéressé. Elle allait voir les entrainements des chevaliers lorsqu'elle le pouvait pour entrevoir celui qu'elle aimait d'un amour platonique et surement à sens unique, vu qu'elle ne lui avait que rarement parlé. Et ce ne fut que de simples banalités courtoises. Elle le savait volage et sans attache, de toute façon, elle s'était bien rendue compte que leur relation n'aurait jamais pu marcher. Ses parents à elle avaient déjà programmé un mariage et ce n'était pas un simple chevalier qui allait y changer quelque chose. Surtout si celui-ci ne sait pas qu'il est l'objet des rêves d'une future duchesse. Elle s’asseyait souvent sur les bancs dans la cour du château, les yeux dans le vague, un travail de broderie sur ses genoux, elle jouait à la lady parfaite. Il le fallait pour ses parents et pour qu'elle ait enfin le précepteur qu'on lui avait promis.

Sansa Ce que je l'aime cette petite
Et j'adore ce prénom, Pétronille

Bienvenue, et bonne continuation pour ta fiche

Briséis Pendragon a écrit:

Ha oui, il faut que je me mette à cette série ! **

Castiel Essendiril a écrit:

Il faut regarder GoT les filles, et lire, aussi.
Sansaaaaa.
C'est un excellent choix d'avatar (et j'essaierai de te faire quelques avatars si tu veux, malgré mes piètres talents de créatrice. )

Citation :

Le nouveau Roi semblait tellement faible qu'il écouterait surement les avis d'une femme.