Maeby Hortense Saroyan. Never underestimates the power of revenge, it burns eveything, consumes your soul, with no mercy it's too powerful to be stopped prénom(s) et nom → MAEBY. Ce prénom n'a aucune signification en particulier et est une totale invention de sa mère, mais qui a au moins le mérite d'être original. Principalement à cause du jeu de mot que son prénom peut inspirer. Mais de toute manière, tout le monde l'appelle Mae (prononcé Mé-i). HORTENSE. Prénom d'origine latine, qui signifie jardin. C'était le prénom de sa grand-mère, originaire du royaume de France. Elle a toujours détesté quand elle se faisait réprimandée d'être appelée par son nom entier à cause de lui. Maeby Hortense Saroyan, ça sonne faux. SAROYAN. Le nom de son père. Pour elle, il n'a aucune importance, elle aurait bien pu s'appeler autrement, ça n'aurait rien changé pour elle. classe → Marcheur de l'ombre. lieu de naissance → Un petit village d'Orcanie, à quelques minutes de la capitale du royaume. age → 26 ans fonction → Guerrière est selon elle son occupation principale, mais Assassin collerait tout aussi bien. traits de caractère → Froide, Cynique, Manipulatrice, Bagarreuse, Loyale malgré tout, Combattive, Rancunière, Imprévisible, Impulsive.

ALLÉGEANCE ↔ On pourrait croire vu ce qu'elle est, que Mae n'a aucune loyauté, envers personne si ce n'est elle-même, et bien détrompez-vous. Elle sert les Marcheurs, sa vraie famille à ses yeux. Elle sera prête à tout pour aider un autre Marcheur, même si elle ne le portera pas toujours forcément dans son coeur. Car rappelons que la demoiselle n'est pas du genre super sociable et accueillante. Son allégeance va donc à son ordre, et même si sa mère, et elle aussi, font initialement partie du clan des Prêtresses, elle a juré leur perte. Oh bien sûr, au passage, elle n'hésite pas à servir ses propres intérêts, mais elle reste avant tout un bon soldat. On lui dicte, elle exécute. Au sens propre comme au figuré. Ceux qui parviennent à gagner sa confiance peuvent se vanter d'avoir une amie comme elle. Elle n'est certes pas la plus joyeuse des femmes, mais on peut compter sur elle.
RICHESSES ↔ Maeby n'a pour ainsi dire aucune richesse. Dans le sens où elle n'a que peu d'objets sur elle, pas de maison à elle, pas de pièces sonnantes et trébuchantes. Sa seule richesse, à ses yeux, c'est son épée, ses armes et bien sûr, son cheval. Bien évidemment, elle aimerait avoir quelques richesses, mais c'est secondaire pour elle. Ce qui prime avant tout, c'est assouvir sa vengeance, et ça ne sera pas fait tant que sa mère respirera. Mais elle est consciente que malgré tout, faire partie des Marcheurs peut lui être profitable, niveau pécunier. Mais son rêve n'est pas de faire fortune, mais juste d'un jour, pouvoir se poser, et oublier son passé, apaiser sa colère, et enfin arrêter de fuir. Mais elle n'en est pas encore là, alors pour le moment, elle accumule quelques pièces ça et là, lorsqu'elle prend un contrat, et elle commence à avoir de quoi faire.
LIEU DE REPOS ↔ Il pourrait y avoir quelqu'un qui l'attend. Son père s'en ai toujours un peu voulu de ce qu'avait pu faire sa femme. Il n'avait pas été consulté, et il se demande souvent ce qu'est devenu sa petite fille. le résultat ne lui plairait pas. Et à vrai dire, Mae ne pense même pas une seconde qu'elle puisse manqué à qui que ce soit, encore moins son père. Il faut dire que sa mère avait bien insisté sur le fait que c'était son idée de la vendre aux marchands. Faux. Mais non, Maeby n'a pas de chez elle attitré, elle erre de tavernes en tavernes, de campement de fortune en refuge impromptu au creux d'un arbre ou dans une grotte. Elle n'est pas du genre à se plaindre de dormir à la belle étoile. Elle aimerait beaucoup pouvoir se trouver une petite maison, reculée de tout en Orcanie, chez elle, mais elle ne sait pas si elle ne finirait pas par s'en lasser, car elle a tellement l'habitude de parcourir les chemins qu'elle ne sait pas si elle supporterait une vie sédentaire.
SOUVENIRS DU PASSÉ ↔ Mae en a bavé avant d'en faire baver aux autres. Et pas qu'un peu. La mort accidentelle de son frère est le premier réel trauma qu'elle a vécu. Et celui-ci l'a marqué à vie, son don lui a fait horreur depuis ce jour. Elle n'avait que cinq ans, mais ce jour là, elle aurait préféré mourir, pour s'épargner la suite. Jusqu'à ses douze ans, Maeby a donc vécu dans la haine de sa mère, pour tout ce qu'elle était. Ne pas être aimé par sa mère, n'est-ce pas là un traumatisme en soi ? Mais l'autre choc majeur qu'elle subit fut le jour où sa mère décida de la vendre à des marchands de passage. Elle pouvait travailler, elle était robuste déjà à cette époque. Comment peut-on se remettre d'un tel acte ? Elle a donc été une marchandise. Je vous laisse imaginer tout ce qu'elle a donc pu subir jusqu'au jour où elle a finalement pu se rendre sur Avalon. Et même là-bas, elle n'avait pas sa place. Elle ne pouvait pas croire à leur salade après avoir vécu ce qu'elle avait traversée. Alors elle est repartie. Et un jour, elle a croisé la route des Marcheurs. Elle a trouvé des gens qui la comprenaient, qui ne la craignaient pas (enfin pas tous), et qui l'acceptait telle qu'elle était. Mais malgré ça, son passé lui pèse encore. Tant que sa mère respire en fait. Mais elle compte bien arranger ça un jour.
VISION D'AVENIR ↔ Son avenir proche, elle le maîtrise. Elle sert les Marcheurs, sans se poser de questions. L'avenir plus lointain, elle ne veut pas y penser. Pas tant qu'elle n'aura pas assouvie sa vengeance. Et puis l'avenir ne lui importe que peu. Elle n'est pas réellement du genre fleur bleue, à s'imaginer plus tard, mariée avec des enfants, même plutôt le contraire. Et la niaiserie que peuvent avoir les mères pour leurs enfants l'écoeure. Forcément, elle n'a jamais eu la moindre preuve d'amour venant de sa mère, comment pourrait-elle alors comprendre ce sentiment qui unit un enfant à sa mère ? Donc pour l'instant, ses plans se limitent à faire régner les Marcheurs un jour ou l'autre et à voir sa mère rendre son dernier souffle devant elle, de par sa main. Le reste, elle le laisse venir. Qui vivra verra non?

➽ Maeby dort avec son épée contre elle. On ne sait jamais... une attaque en pleine nuit est si vite arrivée...
➽ Rien de mieux pour l'énerver que de l'appeler par son nom complet. A vos risques et périls.
➽ Adore se mesurer à ceux qui semblent plus fort qu'elle. Mettre une tôlée à un homme la rend tout chose.
➽ Ne compte plus les cicatrices qui recouvrent son dos, elle a perdu le compte après la première vingtaine.
➽ Très bonne cavalière, elle monte à cru sans problème.
➽ Elle fabrique elle-même ses flèches et son arc. C'est la seule chose que lui ai jamais appris son père qui lui soit utile.
➽ Malgré ce qu'on peut penser d'elle, Mae possède une force peu commune, un vrai mec par moments.
➽ Déteste les gens qui pleurnichent tout le temps. Ça lui donne des envies de meurtre.
➽ Assume totalement ses penchants sexuels hors norme pour l'époque. Elle ne veut se priver d'aucune opportunité. Homme ou femme, elle n'a pas de préférence.
➽ A une fâcheuse tendance à toujours grimacer, surtout face à la bêtise de ses interlocuteurs ou quand elle s'ennuie.
➽ Il n'est pas rare de la voir devant un feu, car après tout, pour lire l'avenir, elle utilise la pyromancie. Le feu a toujours eu une incidence étrange sur sa vie. Elle supporte d'ailleurs très bien la chaleur.
➽ A un grand seuil de résistance à la douleur. Presque proportionnel au plaisir qu'elle peut avoir à la causer.
➽ Porte majoritairement des vêtements en cuir, et les chances de la voir un jour en robe sont quasi nulles.
➽ Relèvera toujours un défi, surtout s'il est lancé par un homme.
➽ Sait cuisiner, mais n'a jamais eu l'occasion de le montrer à quelqu'un.
➽ Est une excellente archère, un gros avantage lorsqu'elle chasse sa nourriture ou qu'elle veut tuer quelqu'un en toute discrétion.
➽ Se damnerait pour un bon verre de whisky ou une bonne bière bien fraiche. Un vrai mec notre Maeby.
➽ Adore la pluie. Elle se sent toujours particulièrement heureuse quand il pleut. Sans savoir pourquoi.
➽ Peut parfaitement affronter quatre ou cinq hommes armées à elle seule.
➽ N'est pas adapte des bonnes manières en permanence, et même si elle ne prend pas de pincette quand elle flirte, le dernier mec à lui avoir mis la main aux fesses s'en souvient encore.
➽ C'est une pro des massages, tout le monde lui dit. Elle connait bien des points d'appui du corps humain, et sait en faire usage aussi...
➽ Même si elle est loin d'être coquette, elle adore prendre des bains. Ça la détend parait-il.
➽ A quelques connaissances en matière de plantes médicinales, rudimentaires, mais suffisantes pour la dépanner en cas de blessures.
➽ Par contre c'est une pro du braconnage. L'art de poser des pièces n'a plus aucun secret pour elle.
➽ N'est généralement pas la plus discrète du monde quand quelqu'un retient son intérêt. N'est pas non plus réellement du genre à prendre "non" comme une réponse.
➽ elle chante très bien, mais s'arrange généralement pour que personne ne l'entende. Elle ne tient pas que ça se sache.
➽ La brûlure qu'elle a sur le bras gauche vient de sa mère. Elle avait voulu la punir d'avoir frappé le fils du voisin après qu'il ai essayé de la frapper en premier lieux.
➽ Elle a toujours le don de souligner les choses comme elles sont, à sa façon, pleine de sarcasme et de cynisme. Et elle adore ça, de voir que les gens comprennent qu'elle a raison.

Elle n'oublierait jamais. Jamais ce que sa mère avait pu lui dire alors. Que son frère était mort à cause d'elle, et qu'elle n'avait jamais fait qu'apporté le malheur sur leur famille. Qu'elle aurait souhaité que sa fille n'hérite jamais de son don. Elle n'était pourtant alors qu'une petite fille parfaitement innocente. Elle ne maîtrisait simplement pas son don. Elle ne faisait que regarder un feu. Jamais elle ne pensait que leur grange prendrait feu aussi vite. Le regard perdu dans les flammes où il lui semblait voir le visage de quelqu'un, qu'elle connaissait sans connaître son nom. Et son frère, endormi dans la grange, n'avait pas senti la fumée avant d'être pris au piège. Elle adorait son frère, vraiment. Mais tout était allé si vite. Et ces flammes qui l'obsédaient toujours autant... Cette tragédie affecta toute la famille. Surtout sa mère, qui depuis ce jour là ne s'occupa plus de sa fille. Et son père, même s'il aimait sa fille, ne pouvait pas oublier ce qu'il c'était passé. Mais il fallait bien que quelqu'un s'occupe de Mae jusqu'à ce qu'elle puisse de débrouiller seule non ? Mais à quel prix ?
Grandir en sentant qu'on inspire peur et mépris à ses parents, ce n'est pas vraiment l'idéal. Mais c'est pourtant ainsi que Maeby a grandi. Elle passait la majorité de son temps seule, dans la forêt, à observer les autres, de loin. Encore trop timide pour oser leur parler. C'est certain que le contraste avec ce qu'elle était devenue à présent était alors saisissant. Le jour et la nuit. La nuit était tombée pour elle le jour où sa propre mère l'a offerte à une de marchands, contre quelques pièces. Sa propre mère. Mae n'a jamais pu oublier. Et quand elle revint des années plus tard, sa mère l'a supplié de lui pardonner. Que c'était la douleur qui avait guidé ses actes, la perte de son fils lui semblant être insurmontable. Elle ne savait rien de la douleur, mais elle allait elle aussi apprendre. Des mains de Maeby.

Pourtant, avant tout ça, ils avaient tous pour être heureux. Maeby se souvenait encore ce ce jour où son père l'avait prise dans ses bras, la faisant tournoyer dans les airs car elle avait réussi à monter à cheval pour la première fois. Bien sûr, ils ne courraient pas sur l'or, et son père ignorait la véritable nature de sa femme mais... Ils étaient heureux. Même si à sa naissance, sa mère était devenue moins joviale. Elle espérait avoir un second fils. Car ainsi, personne ne pourrait jamais soupçonner sa nature, car les dons des prêtresses ne se passaient que de femmes en femmes. Si elle donnait naissance à un garçon, elle évitait donc tout problème. Alors forcément, quand Mae pointa le bout de son petit nez, sa mère déchanta. Son père attribua ça à ce qu'on pourrait de nos jours appelé le baby-blues, mais il n'en était rien. Non, Jocelyn n'aimait tout simplement pas sa fille. Voilà pourquoi Maeby c'est toujours senti plus proche de son père. Jusqu'à un certain point en tout cas.
Malgré la personne qu'elle était devenue, Mae gardait toujours en mémoire certaines bribes de souvenir qui la chamboulait profondément. Elle détestait se sentir aussi faible, nostalgique. La haine qu'elle éprouvait pour sa famille avait été son moteur tout au long de ses années. Même durant son bref séjour sur Avalon, c'était sa colère qui la poussait à se faire passer pour une autre pour apprendre à contrôler ce qu'elle était. Oui mais voilà, elle ne cadrait pas. Trop impulsive, trop dangereuse, pour elle comme pour les autres. Et se faire juger ainsi, pour elle ce n'était qu'une trahison de plus. Pas vraiment de quoi la faire se sentir mieux, l'apaiser. Elle continua donc à vivre guidée par la colère qui l'habitait, jusqu'à ce que son chemin croise celui des Marcheurs.

Elle avait entendu un bruit, un craquement derrière elle. Elle marchait en forêt, chassant son repas du soir. Elle avait l'impression étrange d'être épiée, suivit ces derniers temps. Elle devenait parano, ça ne lui ressemblait pas. Elle continua d'avancer, n'entendant plus rien. Mais à nouveau, elle perçu un bruit. Cette fois-ci, elle en était sûre, on l'observait. Elle dégaina son épée et resta donc sur place. Ce n'était pas forcément une bonne idée, vu qu'elle se trouvait dans une petite clairière, mais si on cherchait à la tuer, autant leur faire ce plaisir. Mais c'était tout le contraire. Ceux qui la suivaient l'avaient repéré quelques jours auparavant, dans une bagarre prenant lieu dans une taverne. Elle s'était à nouveau illustrée en mettant KO une demi-douzaine de types, sans même avoir l'air de fournir le moindre effort. Elle-même ne comprenait pas d'où pouvait lui venir cette aisance au combat, cette force. Mais bon, c'est en partie tout ça qui l'avait gardé en vie jusqu'à présent, alors bon. Ne pas savoir d'où cela venait, ce n'était pas si grave. Ainsi donc elle se retrouvait entourée de trois hommes et une femme. Et celui qui semblait être le chef de la bande se mit à lui parler.
De prime abord, elle trouvait son histoire étrange, bien trop grosse pour être vraie. Et qu'aurait-elle avoir à faire avec des gens comme eux ? La femme tendit alors la main vers elle, sans que rien ne se produise. En apparence. Peu de temps après, Mae se sentit suffoqué. Une racine, sortie de nulle part lui enserrait le coup. Elle comprit donc qu'elle se trouvait en présence de druides et d'une prêtresse. Et visiblement ces derniers étaient au fait qu'elle aussi avait certains dons. Méfiante, elle écouta donc ce qu'ils avaient à lui dire. Et elle fut séduite. Par leur mot d'ordre, leurs méthodes, la perspective d'assouvir sa vengeance au passage et bien sûr, d'avoir enfin un but. Elle rejoignit leur rang et fit un bout de chemin avec eux. Elle n'a jamais rencontré le grand chef, mais qu'importe. Lorsqu'elle recevait un ordre, elle ne rechignait pas à la tâche. Et très vite elle se fit une réputation à la hauteur de ses talents.

Elle n'en tire qu'une fierté modérée. Après tout, elle faisait ça sans effort. Alors pourquoi s'en vanter ? Elle n'était certes pas la femme la plus agréable à vivre qui soit, mais elle n'avait rien d'une crâneuse. Non, loin de là. Elle avait certes beaucoup de défauts, y compris la jalousie et l'art du mensonge, mais qui pouvait se vanter d'être parfait ? En tout cas, même si ce n'est de son genre de remercier facilement, elle reste redevable aux Marcheurs, car elle se doute que sans ça, un jour ou l'autre, quelqu'un aurait fini par la tuer. A force de toujours cherché la merde, ça lui pendait au nez. Mais à présent qu'elle oeuvre pour eux, qu'elle fait partie de leurs rangs, Mae se sent plus à l'aise que jamais. Et surtout plus déterminée que jamais à se venger de sa mère et de ce qu'elle a pu lui faire subir, directement comme indirectement.

Aaaaah Summer Qu'est ce qu'elle est magnifique cette fille, je l'adore !
Contente que tu ai craqué, rebienvenue

J'ai un gros crush sur Lena Headey depuis Terminator, et c'est vrai qu'elle aurait plus d'images relatives au contexte, mais tu fais comme tu le sens, Summer est un excellent choix aussi (par contre je suis pas trop pour Saoirse ) Puis si tu as déjà ton perso en tête, garde Summer

Ahah pareil, je comprends ! Mais Lena version GoT ça fonctionnerait pas ? Summer j'ai un peu de mal à la voir dans un contexte médiéval, mais si tu as déjà des avatars, alors ça devrait aller

Maeby H. Saroyan a écrit:

Bah justement je pensais prendre Cersei car en plus là j'ai de super gifs qui colle avec l'idée de perso que j'voudrais faire